Le licenciement d'un technicien hospitalier en raison de mauvaises notes d'évaluation est valable

La septième chambre du Tribunal Supérieur du Travail (TST) a rejeté le recours d'une technicienne du secrétariat de l'Hôpital de Cliniques de Porto Alegre (RS) qui souhaitait annuler son licenciement. Bien que compétitive, elle a reçu une évaluation peu satisfaisante et a été licenciée à la fin de son contrat probatoire. Pour la collégiale, elle n’a pu prouver aucun vice de procédure.

Les évaluations ont indiqué des difficultés et de faibles performances

Embauché en janvier 2014, le professionnel a été licencié en avril de la même année. Parce qu'elle a été retenue lors d'un concours public, elle a affirmé que l'hôpital, une entreprise publique, devait motiver son licenciement, précédé d'une procédure administrative.

L'hôpital, à son tour, a présenté des documents démontrant les mauvaises performances de la technique pendant la période d'essai, même après avoir reçu une formation et des conseils. Les évaluations ont révélé des difficultés dans des domaines tels que la proactivité et l'exécution des tâches inhérentes au poste, qui auraient conduit à un licenciement.

Le tribunal du 15ème Tribunal du Travail de Porto Alegre (RS) a rejeté la demande du technicien. Bien que le Tribunal fédéral (STF) exige le motif du licenciement dans une entreprise publique, le juge a considéré comme suffisants les preuves présentées par l'hôpital selon lesquelles les performances du salarié n'étaient pas satisfaisantes. En revanche, la technicienne était au courant des évaluations négatives et ne s'est pas prononcée contre les notes qui lui ont été attribuées.

La sentence a été confirmée par le Tribunal Régional du Travail de la 4ème Région, soulignant que lors de la première évaluation, la technicienne avait déclaré qu'elle faisait des efforts pour s'améliorer dans les domaines où ses notes étaient faibles. Cependant, dans la seconde, il obtient les mêmes notes.

Si cela ne correspond pas à la thèse du STF sur le besoin de motivation

Le rapporteur de la réclamation des travailleurs, le ministre Evandro Valadão, a souligné que la situation ne rentre pas dans le Thème 1.022 de la répercussion générale du STF. Le sujet traite de la nécessité de motiver le licenciement, tandis que, dans le cas de la technique, la discussion porte sur la validité des motifs présentés par l'administration et qui ont déterminé le licenciement.

La décision a été unanime et est désormais devenue définitive.

Processus : AG-AIRR-20242-74.2015.5.04.0015.