Centres de transfusion, hôpitaux et unités de soins de santé santé Ceux qui procèdent à l’irradiation du sang et des composants sanguins, une pratique qui prévient les maladies résultant des transfusions, devront désormais satisfaire à de nouvelles exigences pour être agréés. Les mesures qui mettent à jour les normes établies par la Commission nationale de l’énergie nucléaire (CNEN) ont été publiés au Journal officiel de l’Union.
L’irradiation du sang et des composants sanguins est une procédure réalisée après un don pour transfusion. L’équipement soumet le sang à des rayonnements ionisants provenant de différentes sources, dont le césium 137, dans le but d’éviter des réponses immunologiques chez le receveur. Cet équipement est sécuritaire tant pour les professionnels qui l’utilisent que pour l’environnement, mais il nécessite une formation, une surveillance, des méthodes d’utilisation et de transport, des exigences telles qu’un contrôle de qualité strict et un plan pour les situations d’urgence.
Pour mettre à jour ces normes, le CNEN s’est basé sur les recommandations techniques de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), en plus de soumettre le changement à une consultation publique, disponible sur la plateforme Participa +Brasil entre le 17 avril et le 31 mai de cette année. .année et a reçu 145 contributions.
Avec les nouvelles normes, pour autoriser l’installation d’irradiation du sang et des composants sanguins, cinq types d’autorisation ont été établis aux fins de construction, de modification d’éléments importants pour la sécurité, d’acquisition ou de déplacement de sources, d’exploitation et de mise hors service. Chaque établissement devra obtenir au moins trois autorisations selon le type de source de rayonnement ou de générateur utilisé.
Toutes les démarches et la documentation nécessaires à l’acquisition des autorisations ont été établies par les nouvelles règles et sont déjà en vigueur. Selon la publication, les normes concernent toute action impliquant la pratique de l’irradiation du sang et des composants sanguins, c’est pourquoi les fabricants d’équipements, les laboratoires de recherche et les services de maintenance devront également être agréés. (Avec des informations de l’Agência Brasil)